Trans'roller 2006
Il pleut, il
pleut, bergère... |
Les années se suivent... et pourraient bien se ressembler.
Enfin, un cycle semble se
mettre en place sur la Transroller. Il y a eu la pluie, le beau
temps, de nouveau la pluie,
le beau temps, le ciel couvert dans le froid. Cette année, pour
la 6e édition, il devait
donc PLEUVOIR. Eh bien il a plu. D'ailleurs notre grenouille nous
avait prévenu.
Même si, comme elle dit, le pire n'est jamais prévisible, les
ondées repoussées
jusqu'au dernier moment, nous sont tombées dessus dès le
départ. |
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Après tout, c'est comme ça, on fait donc avec!
D'autant, que cette année on s'alignait sur une Coupe
du Monde. Une vraie. Avec des Russes (ils ont gagné la course),
des Italiens (ils ont remporté la Coupe
du Monde), des Allemands, des Hollandais. Alors des Bretons en
plus, cela ne déparaillait pas dans le
concert international. Certes, on a fait fort... en queue de
peloton, mais on étaient là, nous. Et on a
passé un sacré bon week-end. La preuve en images ci dessous. |
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Les départs, c'est toujours au petit
matin. 7h du mat', on charge les voitures pour prendre la
route de Pontarlier. 7 h 30, départ!
L'arrivée est prévue 1
h après... |
Entraide obligatoire pour les
dossards. Faut bien faire
savoir qui on est. |
Bon, allez, c'est
une affaire
sérieuse cette course !
Il faut un minimum de préparation
(on
ne compte pas les
entraînements d'avant course). S'échauffer,
s'étirer, c'est
indispensable. Quand même. |
Pierre-Marie est le seul
à ne pas s'en faire. Il finira
deuxième... du club. |
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Henri prend le mors aux dents.
Tout de suite. |
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Méthode Coué pour Isabelle.
Il fait beau, na! |
Echauffement ou réchauffement
pour Pierre ? |
Devinez qui c'est. Il est le seul
à avoir son vêtement de pluie.
Jean-Marc, bien sûr, le seul a
avoir cru aux prévisions météo
jusqu'au bout. |
Sébastien fait pro. C'est
aussi le meilleur du club. |
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Les
résultats... |
La pluie a joué quelques tours aux Bretons. Deux ont finalement eu
peur des chutes (douloureuses parfois... en 2005 j'y ai laissé
l'intégrité de mon coccyx, si, si...) et ont renoncé. Quant à votre
serviteur, il s'est méchamment fait piéger par le chrono. A force de
gérer au mieux les premiers kilomètres (qui montent, qui montent...)
sous la pluie je suis arrivé quelques
minutes après la barrière de
temps à Malbuisson. Dur d'être obligé de rendre le dossard, mais, bon
c'est le règlement. Ce qui me fait le plus rager c'est que j'ai dû
laisser ma dernière place à notre ami Joseph Luce. Normal, il court
sous les couleurs du Ski club du Mont-Noir, le club de Chapelle-des-Bois... qui
se retrouve ainsi dans les premiers et en fin de course.
A noter aussi l'esprit convivial qui a cours vers la fin du classement.
Pierre-Marie a été "accompagné" de bout en bout par Georges Balanche, un vétéran organisateur d'une autre course de
ski-roues à Nozeroy. Et ce dernier l'a laissé franchir la
ligne d'arriver devant lui. On peut bien lui attribuer une note maxi au
challenge du fair play |
Dur, dur le dernier
raidillon; et il y a encore
3 km à parcourir |
Sur
les 34 km, entre Pontarlier et Mouthe |
Femmes. 36 inscrites |
28e |
Isabelle Poirier |
2 h 06' 09'' |
16,17 km/h |
Hommes. 187 inscrits |
124e |
Sébastien Gallée |
1 h 29' 38'' |
22,76 km/h |
142e ex-aequo |
Pierre-Marie Camper |
1 h 43' 39'' |
19,68 km/h |
148e |
Pierre Thuault |
1 h 58' 30'' |
17,22 km/h |
149e |
Henri Disdier |
2 h 01' 38'' |
16,80 km/h |
150e |
Jean-Marc Le Gallic |
2 h 02' 34'' |
16,65 km/h |
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4 nouveaux
moniteurs |
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