On
a découvert le "Lion" en 2001. Pour
accompagner Anne
dans sa conquète (réussie) du maillot de leader
de la Coupe
de France de rollerski. Une sacrée course, avec
une ambiance
comme on en connait peu d'exemples. Il y a du
monde au
départ et à l'arrivée et la foule sur tout le
parcours qui vous
encourage jusqu'au dernier. Le plaisir... sans
rugir.Ceux
qui rugissent, ce sont les concurrents. Enfin,
les premiers.
Les autres, il n'ont pas forcément le même
moteur mais il font
monter le régime doucement pour arriver au bout
sans casser
la machine.
Cette année, nous
n'étions que 4. Mais bien décidés à montrer,
face à une opposition très forte (plus de 70
concurrents inscrits
mais "seulement" 61 au départ) que les
petits Bretons étaient
là et bien là. Sébastien et Stéphane se sont
bien battus à leur
niveau, faisant une belle course. Pierre et
François ont défendu
les couleurs de Vern en queue de peloton laissant
quand même
les dernières places aux rollerskieurs du cru...
pour ne pas leur
voler la vedette.
21 km, c'est long quand
on a déjà fait 800 km de route et que
800 autres nous attendent pour le retour. Mais on
sera là en
2003. Pour les vingt ans de la course. Foi de
rollerskieurs. |
Tout commence, comme pour chaque
course, par
un arrêt dans l'atelier de préparation. On
démonte les
roulements, on les nettoie, on les graisse,on les
remonte.
Ca roule ? Pas assez ? Alors on recommence...
Jusqu'à ce que ça roule tout seul. Vous savez,
quand
vous lancez la roue et qu'elle tourne encore le
temps
de démonter les roues de l'autre ski, de
nettoyer les
roulements et de remonter...
Demandez à Stéphane. Maintenant il est sûr
que c'est vrai. |